lundi 10 septembre 2018

Les vendanges en quatre questions


http://www.lapresse.ca/vins/actualites/201809/05/01-5195389-les-vendanges-en-quatre-questions.php

Le sujet des vendanges vous intéressent ?  Voilà un article pertinent.

Cyberintimidation

La cyberintimidation est un fléau qui, à mon avis, est beaucoup trop banalisé par notre société.  Il est facile lorsqu'on demeure anonyme d'insulter et de rabaisser une personne tout en étant bien à l'abri derrière un écran !  Est-ce que les intimidateurs auraient le courage de partager leurs écrits en face à face dans le monde réel...j'en doute !

À toutes les personnes qui en sont victimes, dénoncez vos agresseurs !  Je crois en la liberté d'expression dans un contexte de respect mutuel.

Pour tout ceux et celles que ont de l'intérêt sur ce sujet, Canal D diffuse un documentaire ce jeudi 13 septembre à 22h00.

lundi 27 août 2018

Synthèse du cours INF 6107


Activité-E
Synthèse

Ce bilan se veut une continuité de mes recherches sur la dépendance aux nouvelles technologies de la communication et de l’information.  Je parle ici d’un des impacts négatifs du web social sur lequel les chercheurs ne s’entendent pas encore car très peu de données sont disponibles à ce jour sur le sujet.  Selon Magali Dufour, Directrice des programmes d’intervention en toxicomanie à l’Université de Sherbrooke et l’une des rares personnes à avoir mené une étude clinique sur le sujet, environ 1.5 à 2 % de la population serait dépendante à la technologie.  Source : Dépendance à Internet

Selon la Dre Marie-Anne Sergerie, il existe cinq types de dépendance; le cybersexe ou cyberpornographie (la forme la plus répandue), la cyber relation « à mon avis celle qui est la plus près du cours web social » (rencontre en ligne, réseaux sociaux, texto, courriel, etc.), le trouble du jeu vidéo en ligne (maintenant intégré dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux DSM-V), les transactions en ligne (enchères, transactions boursières, achats en ligne, etc.) et le cyber amassage « la quantité et la rapidité d’accès aux informations sur le web a été grandement facilitée par les agrégateurs, section 1.4.2 du module 1, une personne peut facilement suivre plusieurs voire des centaines de fils et, dans certains cas, en devenir dépendant » (quantités d’informations amassées en ligne sur une longue période). 

Pour plus d’informations : Cyberdépendance

Tout comme plusieurs inventions à travers les siècles (électricité, télégraphe, imprimerie, journaux, radio, photographie, téléphone, télévision, Internet) tel que lu à la section 8.2 du module 8, j’ai réalisé que le web social a changé nos façons d’interagir en tant que société de la même façon que, par exemple; l’usage social du téléphone décrit par Patrick Flichy dans son ouvrage intitulé « Une histoire de la communication moderne, page 127 ».

Est-ce que c’est le web social qui a créé la dépendance ?  La réponse est non, la télévision, à titre d’exemple, a, elle aussi, mené certains auditeurs à développer des comportements excessifs.  On n’a qu’à penser aux services de « Télé-Achats dans les années 1980 et, encore aujourd’hui, Achetez-en un, obtenez le deuxième gratuitement » les produits y sont présentés de façon à ce que si vous ne l’achetez pas, vous ne profitez pas des nouvelles innovations au meilleur prix.  Plusieurs types de médias utilisent des méthodes semblables afin d’accrocher les consommateurs.  Chaque nouvelle invention est sans conséquence pour la majorité des personnes mais, un certain pourcentage de la population est plus sensible à développer une dépendance.

Au niveau de la dépendance, le web social a modifié notre façon de se comporter à l’intérieur de la société virtuelle.  La possibilité de se représenter, comme nous l’avons vu à la section 6.3 du module 6, de façon anonyme par des pseudonymes ou des avatars mène à des comportements que plusieurs personnes n’auraient pas dans la société réelle.  Avez-vous déjà vu une personne regarder un magazine « Playboy » sur le banc d’une rue achalander…sûrement pas !  Cette même personne peut regarder toutes sortes de photos ou vidéos à caractère sexuel sur son écran sans que personne ne le remarque.

Inversement, certaine personne utilise leur identité ou leur e-réputation section 6.7.2 du module 6 dans le but de projeter une image améliorée de leur vie quotidienne, on le voit sur des plates-formes comme Facebook.  Une faible estime de soi peut mener à une compensation sur le web social.

Au cours de mes recherches sur la cyberdépendance, j’ai réalisé qu’il n’y a aucune structure formelle qui relie les différents intervenants du milieu.  Au contraire, ce sujet divise la communauté scientifique laissant un trou béant au niveau des statistiques et des données qui pourraient s’avérer précieuse pour ceux qui travaillent auprès des personnes ayant des problèmes de dépendances.  

Dans le but de valider mon hypothèse, j’ai communiqué par courriel avec Madame Cathy Tétreault, Directrice générale du Centre Cyber-aide voilà son opinion : « Même si la cyberdépendance est reconnue par l’Organisation mondiale de la santé depuis juillet 2018, je pense que la division s’explique du fait que la cyberdépendance n’est pas reconnue médicalement par le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux DSM-V. Ce qui a pour résultat que très peu de subventions sont proposées pour effectuer des études longitudinales ou plus spécifiques. 
Les chercheurs ont besoin de montants considérables pour effectuer des recherches sur lesquelles nous pourrions nous baser, nous les intervenant.e.s sur le terrain.
Avant de fonder le Centre Cyber-aide, j’ai travaillé comme intervenante en prévention pour la Maison L’Odyssée et après j’étais responsable du programme JHA au Centre Casa.
Et c’est lors de ces mandats que j’ai effectué des liens concrets avec internet et les technologies et la dépendance au JHA. Mes recherches m’ont amené à faire des liens que Kimberly Young avait faits en 1997. Je pensais avoir découvert quelque chose d’extraordinaire. 
Aussi, il est important de vous dire que Magalie Dufour de l’Université de Sherbrooke, qui est une pionnière au Québec en ce qui concerne la cyberdépendance, a pris le temps de me conseiller dans mes débuts. 
J’ai toujours su que la cyberdépendance frapperait fort et que nous ne serions pas prêt.e.s à y faire face. C’est pourquoi malgré les embûches et les réticences j’ai continué à étudier et à travailler dans les écoles avec les élèves, l’équipe école et les parents. Il est important de vous spécifier que je ne suis pas thérapeute.  Je réfère toujours au CRDQ ou à un médecin. Je suis intervenante en prévention, consultante, conférencière, auteure et formatrice. 
Le manque de structure formelle (selon moi) s’explique aussi par le fait que la cyberdépendance n’était pas reconnue, personne ne pouvait s’afficher publiquement pour la traiter. Je souligne souvent que les intervenant.e.s formé.e.s en toxicomanie sont les plus aptes à accompagner les personnes cyberdépendantes, jusqu’à ce que les professionnels/les de la santé, soient formé.e.s. 
Saviez-vous qu'un cours de 1 crédit est offert à l’université Laval? La responsable du programme est Madame Claire Grenier. 
Pour terminer, il y a aussi le site cyberdépendance.ca qui est géré par Anne-Marie Sergerie, une psychologue spécialisée en traitement de la cyberdépendance. »

La cyberdépendance est un trouble classé comme « Addictif », le rôle des intervenants à l’heure actuelle est de transposer leurs connaissances en dépendance addictive afin d’aider comme ils le peuvent les personnes de tous âges à décrocher de leur dépendance aux technologies de l’information et de la communication.

Les besoins des chercheurs comme Madame Magali Dufour et des professionnels exemple : Dre Marie-Anne Sergerie, sont d’ordre financier.  Sans apport de fonds, que ce soit pour la recherche ou pour le développement de thérapie adéquate et de formation  auprès de tous les acteurs liés à cette problématique, rien ne permet de bonifier le peu d’informations existantes et, qui plus est, il est impossible de créer une structure d’information formelle qui pourrait, selon moi, prendre la forme d’un portail web unique réunissant les renseignements et les ressources offrant la possibilité à ceux et celles qui pensent avoir un problème ou à leurs entourages de pouvoir consulter de façon anonyme et, au besoin, avoir accès au soutien nécessaire (ligne téléphonique sans frais, clavardage avec un intervenant, forum de discussion ou communauté privé tel que vu à la section 6.2 du module 6, etc.). 

Dans un article écrit par Mathilde Roy pour L’Actualité le 10 novembre 2017, Magali Dufour affirme ce qui rejoint ce que je viens d’écrire dans le paragraphe précédent « Si les ressources manquent, c’est en partie parce que la cyberdépendance n’est pas encore une pathologie reconnue dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), la bible en psychiatrie.  Cette absence de statut officiel empêche les organismes et autres professionnels de la santé d’obtenir du financement supplémentaire. Les intervenants et les chercheurs attendent le Plan d’action en matière de dépendance, que doit présenter le ministère québécois de la Santé d’ici la fin de l’année, en espérant que du financement pour la recherche et pour des services sera débloqué ». 
« Il faut s’y intéresser et investir au Québec pour offrir des soins à ces jeunes. Ils ont besoin d’aide ».  Source : L'Actualité
Prenez note que j’ai ajouté cet extrait d’article de L’Actualité qui peut sembler redondant par rapport au paragraphe précédent.  Le fait est que je l’ai découvert à la suite d’une recherche sur Google avec les mots clés « cyberdépendance statistiques » bien après l’avoir composé.

« Nos recherches indiquent que les cyberdépendants perdent le contrôle de leur utilisation d’internet, qui tourne souvent à l’obsession. Ils dépassent les limites de temps qu’ils s’imposent ou qui leur sont imposées, ils y pensent sans arrêt. Leur dépendance entraîne aussi des troubles fonctionnels, comme des conflits familiaux, la perte de sommeil et d’appétit ou l’absentéisme à l’école ou au travail, ainsi qu’une souffrance qui est cliniquement observable » résume Magali Dufour à Eve Beaudin de l’Agence Science-Presse le 18 décembre 2017  Source : Journal Métro

Afin de vérifier par moi-même et, après avoir tenté plusieurs mots clés de recherche sur Google, j’ai eu les meilleurs résultats en utilisant « thérapie cyberdépendance » :

Un portail de référence pour la Capitale-Nationale :

CASA, centre ayant un programme de traitement pour la cyberdépendance :

Le Grand Chemin, centre spécialisé pour les adolescents offrant un service en cyberdépendance :

Comme nous avons pu le constater dans le courriel de Madame Tétreault, ce sujet avait déjà été abordé au cours des années 1990 par la Dre Kimberly Young, une psychologue agréée de renommée internationale et experte des comportements en ligne et de la cyberdépendance.  Elle a été la première personne à parler de dépendance à Internet dans son ouvrage publié en 1998 intitulé « Caught in the Net ».

Au cours des vingt dernières années, la cyberdépendance a été socialement classée comme un sujet tabou au même titre que plusieurs autres problématiques touchant la santé mentale.  À ce jour, nous croyons qu’environ 1.5 à 2 % de la population est concernée mais, avec si peu de données, est-ce représentatif de la réalité ?  J’en doute !

On remarque une tendance récente par rapport au côté plus sombre d’Internet, le web social est utilisé dans le but de sensibiliser la population sur certains sujets autrefois tabou, que l’on pense au documentaire « Bye » où il est question de la quête d’un père :
« Thomas s’est enlevé la vie à 14 ans. Deux ans plus tard, son père cherche toujours à comprendre ce qui l’a poussé à poser ce geste en ne laissant qu’un seul mot en guise d’adieu : « Bye ». Dans sa quête de solutions pour prévenir le suicide en ligne, Alexandre rencontre des adolescents, des parents et différents experts afin de mieux cerner l’ampleur du phénomène de la cyberdépendance et les enjeux actuels en santé mentale. Alexandre Taillefer ne veut pas seulement comprendre, il veut que les choses changent. »  Source : La quête d’Alexandre Taillefer pour comprendre le suicide de son fils

Une nouvelle série de dix épisodes verra le jour cet automne sur TVA « Le Jeu ».  Il s’agit d’une fiction basée sur la cyber intimidation un fléau social récent. 

Est-ce que cette tendance d’usage du web social dans le but de sensibiliser et soutenir les personnes vulnérables à la cyberdépendance se poursuivra…je l’espère !

Dans un horizon à court terme soit dans la prochaine année, je suis d’avis que nous assisterons à un statu quo.  Nous lirons probablement quelques articles par ci par là du moins ceux et celles qui suivent les fils RSS des personnes qui travaillent sur ce sujet.  Je n’entrevois aucun changement significatif pour cette période.

À moyen terme soit, d’ici les cinq prochaines années, on peut espérer que des études tel que Virtuado (voir bilan sommaire Projet de recherche VIRTUADO) aboutiront et que des projets similaires seront menés auprès de la population en général, pas seulement chez les 12-17 ans, la souffrance n’a pas d’âge.  Description du projet :

Qui sont les jeunes cyberdépendants ?
« C’est le point de départ d’une toute première étude québécoise visant à dresser le portrait clinique des jeunes qui se présentent dans les centres de réadaptation en dépendance pour des problèmes de cyberdépendance.  L'étude Virtuado est pilotée par la chercheuse Magali Dufour, de l'Université de Sherbrooke, et financée par le ministère de la Santé et des Services sociaux.  Les résultats préliminaires montrent que le problème est bien réel. « Ce n'est pas une invention des journalistes », tranche la chercheuse Magali Dufour.  Elle explique également que le problème touche majoritairement des garçons, chez qui on observe des changements de comportements et qui passent en moyenne 56 heures par semaine sur Internet, en plus de leurs heures d'école.  Les résultats de l'étude Virtuado doivent être publiés au cours des prochains mois ». 

Nous sommes en pleine campagne électorale, nous verrons le 1er octobre 2018 qui nous gouvernera et qu’elle orientation le ou la nouvelle Ministre donnera quant à la suite du dossier de la cyberdépendance. 

D’ici vingt ans, comme je suis une personne de nature optimiste, j’ose croire que la cyberdépendance sera bel et bien reconnue comme une maladie et que les personnes faisant face à cette réalité auront accès aux renseignements, ressources et soutien nécessaire à leur guérison.

Souhaitons aussi que le Ministère de la santé et des services sociaux (MSSS) dépasse le stade de pensée actuelle qui est « Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) travaille à la production d'un nouveau plan d'action en dépendance. À l'heure actuelle, impossible de savoir si ce plan comprendra ou non la cyberdépendance.
Alors, à quand une reconnaissance officielle du problème ?  « Actuellement, dans nos orientations ministérielles, on considère la cyberdépendance comme un phénomène en émergence et on est à documenter ce phénomène », explique Lynne Dugay, qui est à la tête de la Direction des dépendances et de l'itinérance du MSSS.

En conclusion

Selon Michel Cartier, section 8.4 du module 8
« L'être humain vit dans un espace-temps qui façonne la conscience qu'il a de son environnement. Or, parce qu'Internet modifie cet espace-temps, il devient le miroir et le catalyseur des mutations qu'il intensifie pour le meilleur ou pour le pire ».

L’avènement d’Internet, du web social et de tous les dérivés (applications, plates-formes de réseautage, etc.), nous a mené en tant que société à suivre une évolution rapide et constante, nous voyons de nouvelles applications se développer dans tous les secteurs (bancaire, alimentaire, vente et échange, jeux, etc.).  Même les chaînes de restauration rapide (exemple Mc Donalds) à son application facilitant la vie de l’utilisateur qui peut maintenant, en plus de localiser la succursale la plus près de lui, profiter de la commande mobile et même payer via Visa ou Mastercard Débit à partir de son téléphone intelligent.

Le web social continue d’évoluer année après année, bien malin celui qui pourrait prédire jusqu’où cela nous mènera.

Comme par le passé, notre société s’adapte à cette nouvelle ère qu’est celle du village global, les frontières sont tombées et nous avons un accès ad hoc aux informations à l’échelle planétaire.  Ces nouvelles technologies de l’information et de la communication font en sorte que nous sommes devenus « hyperconnectés » et que tout se passe à la vitesse de l’éclair.

Pour certains, il s’agit d’un agent facilitateur au niveau professionnel, pour d’autres cela permet de briser l’isolement en ayant la possibilité de communiquer avec des personnes ayant les mêmes intérêts (les communautés section 6.2.2 du module 6).

Pour le pourcentage ayant une prédisposition à la dépendance, leur nombre croîtra étant donné la disponibilité et le faible coût d’accès à Internet.

jeudi 23 août 2018

Jeunes connectés, parents informés


https://www.miditrente.ca/fr/produit/jeunes-connectes-parents-informes

Ce guide pratique simple et complet a pour but de répondre à toutes les questions en lien avec le cyberespace. Il parle des phénomènes importants comme la cyberdépendance et la cybercriminalité, en plus d’aborder les sujets sensibles du sexting chez les jeunes et de la cyberintimidation. Il s'avère un outil important pour toutes les personnes que ces sujets préoccupent.

dimanche 12 août 2018

Lâche ton cell!


https://www.lesoleil.com/le-mag/lache-ton-cell-2f4cf5fb89bd3785d75537ad4c86b830

Cette chronique écrite par une mère est très intéressante, elle relate des problématiques certes mais, offre des informations et des solutions utiles à tous.

Prenez le temps de le lire en entier même s'il est long, ça vaut la peine !

lundi 23 juillet 2018

Bilan Activité-B


Initiative

J'ai choisi la Cyberdépendance car, suite au développement rapide des technologies de l'information et de la communication, certaines personnes sont devenues dépendantes de leur ordinateur, de leur tablette ou de leur téléphone intelligent.  Selon la Dre Marie-Anne Sergerie, Ph.D. « L’individu peut en venir à prioriser les cyberrelations plutôt que de mettre l’accent sur les relations sociales et familiales présentes dans la vie réelle. »  Source : Cyberdépendance

Dans mon cas, ça a duré plus de dix ans. J'étais toujours en mode veille, dès qu'un appareil (Ordinateur, tablette ou téléphone) annonçait une notification, c'était plus fort que moi, il fallait que je vois de quoi il s'agissait.  En tant que consultant en management, j'ai développé plusieurs formations dont une portant sur la « Gestion du temps » à l'intérieure de laquelle je suggérais, entre autres, de vérifier les courriels à des heures déterminées, de même pour les messages vocaux et de déconnecter les réseaux sociaux pour n'y aller qu'à des moments dédiés à ceux-ci, j'étais un cordonnier très mal chaussé.

J’ai choisi de tenter de sensibiliser les utilisateurs des nouvelles technologies de l’information de la communication aux possibilités de dépendances en créant un site Web avec Google Sites et, j’ai utilisé mon blogue créé avec Blogger.

Chaque article ou sujets choisis a été mis en ligne sur le site, ensuite sur le blogue afin d’être partagé sur la page Diigo (avec les tags appropriés) du Groupe INF 6107, sur ma page Diigo, sur Twitter, sur la page Facebook du Groupe, sur ma page Facebook, sur la page de la communauté INF 6107 Google+, sur ma page Google+ et sur LinkedIn.

Activités

J’ai effectué des recherches avec mon agrégateur Netvibes qui m’a servi d’outil de veille, j’ai utilisé le moteur de recherche Google avec les mots clés suivants; cyperdependance, grand dictionnaire terminologique, la presse et infopresse.
Sur Twitter, j’ai trouvé des articles sur Rmc BFM de même qu’en suivant #cyberdépendance, #Addictionauxécrans, #dépendance internet.  Sur Facebook, j’ai suivi Cyberdépendance Québec, Combattre la Cyberdépendance et Stanford Students Against Addictive Devices.

Analyse

Afin d’analyser les statistiques de fréquentation de ma page, j’ai utilisé Google Analytics (en cliquant sur le lien, vous avez accès à tous les graphiques) pour la période du 28 mai au 22 juillet 2018 soit, sur huit semaines.

On remarque qu’à chaque publication d’articles, il y a eu des visites.  Pour tous les jours où je n’ai pas publié, il n’y a eu aucun mouvement.  Les visiteurs proviennent du Canada à 82.76 %, du Pérou à 6.90 %, des États-Unis à 6.90 % et de l’Irlande à 3.45 %.  Les référents sont diigo.com, sbraney.blogspot.com, facebook.com et m.facebook.com.

Il y a eu, au cours de cette période, 29 utilisateurs avec un nombre de session par utilisateur de 2.79, 115 pages (81 sessions x 1.42 pages/session) ont été vues avec une moyenne de 2 minutes 7 secondes.  Étant donné que je n’ai qu’une page, le taux de rebond est de 69.14 %.

Facteurs positifs et négatifs

Selon moi, ce qui a aidé à la visibilité de mon site, ce sont les vues sur mon blogue « il y a eu beaucoup plus de trafic sur le Blogue que sur le Site Web.  Voir les Statistiques du blogue » de même que le partage sur tous les sites décrit plus tôt.  Ce qui a nuit, c’est le nom de ma page « INF 6107 Web Social », en cherchant sur Google, j’ai trouvé mon blogue en page 3 mais, je n’ai jamais trouvé mon site même en l’ayant inscrit dans le moteur de recherche de Google et de Bing.

Bonne lecture !

mardi 17 juillet 2018

Les réseaux sociaux ou quand scroller devient une véritable addiction


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Doit-on se soucier de notre vie sociale dans le monde réel ? Pour ma part, je suis d'avis que nous devons tous et chacun être sensibilisé avec l'utilisation des réseaux sociaux. L'article qui suit nous mets en garde sur les risques potentiels.

dimanche 15 juillet 2018

Dépendance aux jeux vidéo : les parents paniquent


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Une réflexion intéressante d'un « gamer » à l'attention des parents suite à la reconnaissance par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) du « trouble du jeu vidéo ». Cette vision nous amène à encadrer plutôt que proscrire les jeux vidéo.

mardi 10 juillet 2018

mercredi 27 juin 2018

Cyberdépendance : la technologie est-elle toxique ?


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Pour moi ce ne sont pas les nouvelles technologies de l'information et de la communication qui pose problème, je dirais plutôt que c'est l'utilisation que nous en faisons qui peut potentiellement être toxique. Prenez connaissance de l'article qui suit et écrivez-moi vos commentaires sur mon Blogue

mardi 26 juin 2018

Reconnaître la cyberdépendance pour mieux la soigner


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Comme il s'agit d'un phénomène récent, la dépendance aux jeux vidéo est peu documenté au Québec. Environ 3 % des gamers seraient dépendants, la majorité réussisse à trouver un juste équilibre. L'Organisation mondiale de la santé ( OMS ) a ajouté le « Trouble du jeu vidéo » à son classement car, selon certains experts, la problématique est en croissance.

Dépendance aux réseaux sociaux : le cri d'alarme d'ex-cadres de Facebook et de Google


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Des ex-cadres faisant partie des débuts de Facebook et Google ont créé le Center for Humane Technology dans le but de sensibiliser les consommateurs sur les outils utilisés pour capter leurs attention et les garder rivés à leurs écrans.

lundi 18 juin 2018

Comment prévenir l’utilisation problématique des nouvelles technologies ou les ennuis ?


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

En lisant cette information sur le site Cyberdépendance.ca créé en 2008 par la Dre Marie-Anne Sergerie qui s’intéresse aux aspects psychologiques et sociaux d’Internet et des technologies de l’information et de la communication depuis une vingtaine d’années, je me suis rappelé un exercice avec ma fille qui était une jeune adolescente à l'époque. Comme je suis paralysé des quatre membres, nous avions de petits jeux « style Adibou » que nous utilisions sur mon ordinateur. Lorsqu'elle allait en ligne, nous discutions de ce qu'elle y faisait et, un jour où elle était en conversation sur « Caramail » avec une supposé fille de son âge, j'ai trouvé les propos de son interlocuteur ou interlocutrice plutôt bizarre. C'est alors que j'ai eu l'idée de lui montrer que je pouvais me créer un compte de fillette de 12 ans. Elle a pris conscience qu'elle ne pouvait pas se fier à tout ce qui est écrit à l'écran. Le lien qui suit vous soutiendra dans votre démarche de prévention.

Instagram : le temps que vous passez sur l’application bientôt dévoilé

https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Lorsque des géants tels Instagram, Facebook et Google travaillent sur une fonction vous permettant de connaître le temps passé sur une application, c'est qu'il est temps de se remettre en question en tant que société.

À l’université de Stanford, des étudiants partent en guerre contre l’addiction aux écrans


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

En effectuant une recherche sur Twitter « #Addictionauxécrans », j'ai trouvé cet article qui nous démontre que le phénomène de Cyberdépendance préoccupe même des étudiants en informatique de l'Université Stanford. Ici, on ne parle pas seulement d'addiction aux réseaux sociaux mais bel et bien aux appareils connectés. Leurs interventions ciblent la compagnie Apple mais pour moi, ça peut être le cas avec tous les types d'appareils ; Téléphones intelligents, Tablettes, Ordinateurs de bureau ou portables et toutes les consoles de jeux.

vendredi 15 juin 2018

Evaluer votre dépendance à internet : test IAT (Internet Addiction Test)


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Je vous propose un petit test qui ne prend que quelques minutes. Je l'ai fais le plus honnêtement possible et je ne suis pas dépendant d'Internet mais, je dois demeurer prudent :o)

jeudi 14 juin 2018

15 mois de prison et une thérapie pour pornographie juvénile


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Voyez jusqu'où la Cyberdépendance peut vous mener ! Je suis grand-père d'une petite fille de 20 mois et j'ai été choqué en lisant cet article. Impossible d'y rester insensible, lisez-le.

Surfer sur la vague du numérique


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Les enfants et les adolescents passent un nombre toujours grandissant d’heures devant les écrans soit, en moyenne 7 heures 48 minutes pour les 10 ans et plus. Source : L'école comme rempart au tsunami numérique

Écrans : comment sortir de l'emprise ?


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Cet article représente bien ce que plusieurs d'entre nous vivons au quotidien et nous propose des pistes de solutions intéressantes.

mardi 5 juin 2018

Le CFP pionnier en prévention de la cyberdépendance


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Une initiative que je trouve brillante pour la sensibilisation à la Cyberdépendance.  Il s'agit d'un modèle relativement facile à reproduire dans les milieux pouvant mener à une problématique de dépendance.

lundi 4 juin 2018

La Cyberdépendance chez les jeunes

https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Un adolescent dépendant passe de 40 à 60 heures sur le Web. Chez les adultes, on parle de 66 heures ! Vous trouverez deux hyperliens sur mon site sur la Cyberdépendance. Prenez le temps d'en prendre connaissance.

samedi 2 juin 2018

La déconnexion à l'ère de l'angoisse numérique


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Selon Amnon Jacob Suissa, Sociologue, « le citoyen numérique évolue dans les conditions propices au développement d’un trouble de cyberdépendance ».  Est-ce que notre cyberactivité est addictive ? 

mardi 29 mai 2018

Réflexion sur la Cyberdépendance


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil


Ce site est un travail en cours, j'y ajouterai régulièrement les résultats de mes recherches sur la Cyberdépendance. Je vous demande de venir le visiter fréquemment et de me faire part de vos commentaires sur le sujet ici.

Merci de votre soutien

vendredi 25 mai 2018

Génération Z / Milléniaux / Bébé-boomers : l’usage des réseaux sociaux évolue selon les générations


https://isarta.com/infos/?p=55184

Cet article traite des diverses façons de voir et d'utiliser les réseaux sociaux par génération.

Est-il possible pour une entreprise Québécoise d'être compétitive au niveau du commerce électronique ?


https://monsieurecommerce.com/e-commercants-quebecois-desavantages/#comment-661

Parfois, il y a des aberrations qui nous jettent en bas de nos chaises...en voici une !

Ce billet contient un hyperlien qui intéressera tout ceux qui ont un intérêt dans le e-commerce.

Les expéditions de Google Home dépassent celles d'Amazon Echo

https://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/1194558-les-expeditions-de-google-home-depassent-celles-d-amazon-echo/
Google Home, Google Home Mini et Google Home Max !  La concurrence est féroce dans le développement d'assistant virtuel, tous les grands joueurs veulent avoir le meilleur produit.

Google offre trois assistant et, pour la première fois, a dépassé le Echo distribué par Amazon.

Pour l'instant, les avis semble plutôt partagés par rapport à ce que cet assistant peut, ou ne peut pas, faire.

Je vous laisse vous faire votre propre idée à savoir si, selon vous, on verra un produit pratique et fonctionnel ou si ça deviendra tout simplement un gadget à la mode pour un certain temps.

Vins et BBQ: du fruit et de la fraîcheur, svp!


http://www.lapresse.ca/vins/veronique-rivest/201805/23/01-5182876-vins-et-bbq-du-fruit-et-de-la-fraicheur-svp.php

Pour les amateurs de vins et de BBQ, cet article nous propose des accords mets et vins intéressants et diversifiés.

mercredi 23 mai 2018

Boom des travailleurs autonomes


http://www.journaldemontreal.com/2016/03/27/boom-des-travailleurs-autonomes

Les espaces à bureaux collectifs se développent partout dans le monde.  Ce phénomène s'explique par l'augmentation constante de travailleur autonome.  Cet article m'a interpellé car ayant moi-même été consultant en management durant douze ans, j'aurais adoré avoir accès à un tel concept.

De plus, on y retrouve plusieurs références à des concepts du cours de Web social.  On y parle de mise en commun de services, de réseaux, de collaboration, de groupes de travail et, de communautés.

Voilà quelques exemples de ces espaces;

Le GAB Café :  https://www.gab.ae/

Le Wework :  https://www.wework.com/fr-CA/

Le ECTO coworking coopératif :  http://ecto.coop/

L'Anticafé :  https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/760612/anticafe-temps-montreal

vendredi 18 mai 2018

Être geek aujourd'hui, ça veut dire quoi ?


https://www.numerama.com/pop-culture/268443-etre-geek-en-2017-ca-veut-dire-quoi.html

Voilà l'observation participative du Docteur en sciences de l'information et de la communication David Peyron.

Hacker Ethic

La communauté des hackers base sa philosophie sur le partage et la gratuité en ce sens qu'en comparaison avec notre société basé sur le capitalisme (tout est axé sur le profit), ceux-ci développent selon une éthique qui va à l'encontre de ce que nous connaissons.

Il s'agit d'une éthique que tous doivent adoptés afin de prétendre à être acceptés en tant que hacker.  Les hackers sont des passionnés qui mettent leurs ressources en commun afin de partager des outils informatiques gratuit et libre de droit.  C'est une culture basé sur l'ouverture, on y parle de logiciel «Open Source», de «Work in progress» et d'autres termes semblables toujours dans l'optique que l'information doit circuler librement.  On leur doit, entre autres, Open Office, Mozilla Firefox etc.

Certains hackers se sont regroupés afin de créer des espaces de travail partagé, il brise les conventions en ayant des valeurs différentes des entreprises traditionnelles.  Ils ne sont pas motivés par l'argent, ils n'ont pas de hiérarchie, ils sont passionnés, créatifs et collaborent en s'amusant de même qu'en partageant leurs savoirs avec le groupe.

Il est important de ne pas confondre le terme «Hacker» qui est une personne honnête au service des autres du terme «Cracker» qui lui réfère à l'individu malveillant dont le but est de nuire aux autres, ces derniers n'adhèrent à aucun code d'éthique.

mercredi 16 mai 2018

Annuaire de sites personnel de vins

http://www.vinup.com/amateur.lasso?&recherche=perso&titre-page=Les-sites-web-personnels-et-amateurs-de-vin&page=Passionnes-persos-clubs-amateurs

Je m'intéresse aux bons vins rouges, aux portos de même qu'aux whiskys irlandais, en effectuant quelques recherches, j'ai trouvé un annuaire de site Web personnel que je vais pouvoir consulter et assurément échanger avec d'autres amateurs.

mardi 15 mai 2018

L'évolution du Web


https://www.multiplemedia.com/blog/levolution-du-web

Ce billet nous permet de comprendre le Web depuis le début soit le Web passif ensuite le Web participatif ou collaboratif et maintenant, le Web sémantique tout ça...en seulement 27 ans.

Culture d'experts ou culture d'amateurs ?


http://www.vizmatic.com/apprenez-a-programmer-en-dix-ans/lang/fr

Dans l'article ci-haut, Peter Norvig démontre qu'il est impossible de devenir un expert de la programmation en quelques jours...c'est bien évident et ce, pour tous les champs d'expertise.

Éric Raymond nous dit qu'un des meilleurs programmeurs qu'il ait embauché n'avait qu'un diplôme d'études secondaire.  Quant à Alan Perlis, il croit qu'il y a des individus qui, avec un encadrement adéquat, peuvent devenir d'excellent programmeur.

En tenant compte de la théorie cognitive de l'expertise, un amateur passionné qui pratique une discipline, durant dix ans ou dix milles heures, en plaçant la barre toujours plus haute et en se donnant le droit à l'erreur dans le but de s'améliorer peut-il devenir un expert ?

Je suis un amateur de football canadien.  Pour moi, une personne comme Pierre Vercheval ou Matthieu Proulx par exemple qui, suite à leur carrière de joueur, sont devenus des experts dans leur domaine et peuvent utiliser cette expertise afin de nous décrire les matchs.

samedi 12 mai 2018

La protection de la vie privée et l’Internet des objets


https://www.priv.gc.ca/fr/sujets-lies-a-la-protection-de-la-vie-privee/technologie-et-vie-privee/02_05_d_72_iot/

Ce billet porte sur la vie privée...est-ce possible dans le monde branché d'aujourd'hui ?

Je crois que pour pouvoir prétendre avoir une identité privée, il faut vivre sur une île déserte où aucune technologie n'est disponible.  Nous sommes catalogué que nous le voulions ou non, nos coordonnées se retrouvent partout...pensez-y, qui n'a rien à son nom.  Que l'on pense à l'électricité, le téléphone, la télévision...nous devons donner nos informations personnelles sans quoi, pas de services.  Imaginez ceux et celles qui ont plusieurs autres appareils tels cellulaire, ordinateur de bureau ou portable, tablettes et autres gadgets de toutes sortes.

Combien d'entre-vous utilise, par exemple, un logiciel de traçage pour localiser les enfants, même les véhicules et les maisons sont bien souvent connectés à Internet à travers diverses fonctions qui transmettent des données sans que nous le sachions.

L'hyperlien vous dirige vers des conseils de protection.  J'attire cependant votre attention sur le conseil de lecture de l'information sur la protection de la vie privée qui, la majorité du temps est inclus dans les conditions d'utilisation.  Je vous invite à prendre connaissance de l'article suivant d'un graphiste ayant imprimés les conditions d'utilisation des réseaux sociaux que nous utilisons tous;

https://www.francetvinfo.fr/internet/reseaux-sociaux/reseaux-sociaux-il-montre-la-longueur-des-conditions-d-utilisation-acceptees-les-yeux-fermes-par-les-utilisateurs_2740915.html

  Bonne lecture

mercredi 9 mai 2018

Empreinte numérique – Identité numérique – Réputation numérique ou comment se profiler en ligne ?


http://www.childfocus.be/fr/prevention/securite-en-ligne/professionnels/les-reseaux-sociaux/empreinte-numerique-identite


Ce billet décrit l'importance d'être vigilant et de sensibiliser les enfants, de même que les adultes, par rapport aux écrits et aux traces que nous laissons de façon permanente lorsque nous naviguons sur Internet.  Ce billet est axé sur trois définitions soit celle de notre empreinte numérique, notre identité numérique et notre réputation numérique.

Il est primordial de penser avant d'écrire car parfois, sur un « coup de tête » nous répliquons à un commentaire ou nous cliquons sur des émoticônes reflétant notre émotion du moment ( nous sommes humains, ça nous arrive tous à un moment ou à un autre ).  Cette impulsivité se retrouve bien souvent vu, ou lu, par un nombre « x » de personnes qui, par la suite, peuvent baser leur opinion de nous sur ces gestes.

Ce module m'a permis de voir à quel point il peut être difficile de construire et, facile de détruire, notre réputation sur le Web social.

jeudi 26 avril 2018

10 informations surprenantes sur l’usage d’Internet dans le monde

https://isarta.com/infos/?p=54194

Ce billet s'adresse à tout ceux et celles qui aiment les statistiques.  Par exemple, 54 % de la population mondiale a accès à Internet.  On y apprend des choses très intéressantes.

Cependant, le billet sert aussi à illustrer ce qu'est un « objet social », un terme que j'ai appris dans le cadre de mon cours et, que j'avais envie de partager avec vous.

Voici la description tirée du site web de mon cours 

« Les caractéristiques essentielles d’un objet social sur le web sont donc :
  1. l’existence de « verbes », donc d’actions que l’on peut poser vis-à-vis d’un objet, par exemple, créer, transmettre, partager, imprimer, télécharger, ajouter, écouter, visionner, étiqueter, collaborer, commenter, regrouper, « favoriter » (ajouter à ses favoris), clavarder, transclure, faire un lien ;
  2. la possibilité de tenir des conversations autour de l’objet, soit de façon étroitement couplée à l’objet (par exemple par l’intermédiaire de commentaires attachés) ou à distance au moyen d’hyperliens. »

Quel statut juridique pour les plateformes en ligne ?


https://www.usine-digitale.fr/article/quel-statut-juridique-pour-les-plateformes-en-ligne.N466123

Comme nous pouvons le constater dans cette article, les types de plateformes en ligne se sont multipliés au cours des dernières années.  Il y a les moteurs de recherche exemple Google, les plateformes de partage exemple Youtube, les plateformes de mise en relation exemple Uber, les réseaux sociaux exemple Facebook, les sites de comparaison et de réservation exemple Trivago, les plateformes d'enchères exemple Ebay et les plateformes de vente ou d'échange exemple Kijiji.

Le parangon de l'économie numérique, la plateforme en ligne occupe maintenant une place tellement importante que la France en est venu, le 7 octobre 2016, à se doter de la Loi pour une République numérique.  Prenez le temps de lire l'article au complet, la question ou la réflexion que nous propose Me Pascal Agosti est dès plus pertinente ces temps-ci !

mardi 24 avril 2018

Économie de l’attention: la conquête des cerveaux

https://trends.cmf-fmc.ca/fr/blog/economie-de-lattention-la-conquete-des-cerveaux

J'ai choisi ce billet car il m'a permis de pousser plus loin mon apprentissage de ce sujet qui, malgré qu'il s'agit d'un phénomène datant de l'arrivée de la radio en 1920, n'a été nommé ainsi qu'en 1978 par le Prix Nobel d'économie Monsieur Herbert Simon.

Depuis, l'économie du savoir a fait l'objet de plusieurs recherches et des ouvrages ont été publiés.

Les médias traditionnels ont toujours la cote.

http://www.infopresse.com/archive/article/40257

Un article intéressant datant de 2012 directement en lien avec le module 4. On y parle de crédibilité, de confiance et d'influenceurs.

lundi 23 avril 2018

Gérer la mobilité avec le travail à distance : un défi pour les entreprises et les travailleurs

https://www.generation-nt.com/gerer-mobilite-entreprise-travailleur-teletravail-travail-distance-actualite-1953029.html

Les défis auxquels font face les administrateurs de réseaux d'entreprises afin de protéger les données.

Y a-t-il des télétravailleurs parmi vous ?

Nuance entre le blogue et les réseaux sociaux tels, Facebook, Twitter et autres

Lien: http://coreight.com/content/blogs-VS-reseaux-sociaux-la-guerre-du-web-n-aura-pas-lieu

Pour un débutant qui, comme moi, fait ses premiers pas dans le monde des réseaux sociaux, il est difficile de bien comprendre les caractéristiques propres à chacun.  Le module 3 nous explique très bien la structure, l'origine et la technologie des blogues.

Je partage avec vous ce billet qui vient confirmer ce que nous avons lu dans ce module et, plus encore, il fait le point sur les rôles et complémentarités de chaque types de médias sociaux que l'on retrouve sur le Web.


Community Manager, un métier en perpétuelle évolution

jeudi 19 avril 2018

Vidéo Teluq 2008

Courage sur roues

Présentation


Bonjour,

Suite à mon accident de plongeon survenu le 22 juillet 1994, je suis devenu tétraplégique (paralysé des quatre membres).  J’ai toujours fait mon possible afin de réintégrer la société à part entière.  Du côté personnel, ça s’est bien passé, je me suis impliqué dans la communauté au sein de plusieurs conseils d’administration, j’ai créé ma fondation (1998-2013) afin d’aider ceux qui n’ont pas eu la chance d’être bien entouré comme je l’ai été par ma famille et mes amis.  Je fais des conférences sur la prévention des accidents de loisirs de même que sur la motivation et la beauté de la vie.
 
Suite à mes démarches afin de retourner sur le marché du travail, infructueuse malheureusement, je suis retourné aux études à l’âge de 32 ans et, 5 ans plus tard, j’ai obtenu mon baccalauréat en administration des affaires à la Téluq.  Ne trouvant toujours pas d’emploi me permettant de me réaliser professionnellement, j’ai démarré ma propre entreprise en devenant consultant en management.  Celle-ci m’a permis de subvenir à mes besoins et couvrir mes frais d’équipements et d’accompagnement jusqu’en 2013.

Lorsque j’ai débuté mes études, je voulais valider ma capacité à poursuivre une formation universitaire.  Dès la complétion du certificat en administration, j’ai voulu aller au baccalauréat et, à la suite de son obtention, j’aurais aimé poursuivre à la maîtrise.  Comme à cette époque j'avais quelques contrats, j’ai mis ce projet de côté et, je me suis consacré au travail de même qu’à ma famille.


Aujourd’hui, mes enfants ont vingt-cinq et vingt et un ans, j’ai cinquante ans et je suis grand père depuis le mois de septembre 2016.  Je désire maintenant me consacrer à mon projet de maîtrise et, ensuite,  poursuivre au doctorat. 

J’ai choisi les technologies de l’information car, étant donné mon handicap « tétraplégie soit, paralysie des quatre membres », celles-ci font partie de mon quotidien depuis 1998.