lundi 23 juillet 2018

Bilan Activité-B


Initiative

J'ai choisi la Cyberdépendance car, suite au développement rapide des technologies de l'information et de la communication, certaines personnes sont devenues dépendantes de leur ordinateur, de leur tablette ou de leur téléphone intelligent.  Selon la Dre Marie-Anne Sergerie, Ph.D. « L’individu peut en venir à prioriser les cyberrelations plutôt que de mettre l’accent sur les relations sociales et familiales présentes dans la vie réelle. »  Source : Cyberdépendance

Dans mon cas, ça a duré plus de dix ans. J'étais toujours en mode veille, dès qu'un appareil (Ordinateur, tablette ou téléphone) annonçait une notification, c'était plus fort que moi, il fallait que je vois de quoi il s'agissait.  En tant que consultant en management, j'ai développé plusieurs formations dont une portant sur la « Gestion du temps » à l'intérieure de laquelle je suggérais, entre autres, de vérifier les courriels à des heures déterminées, de même pour les messages vocaux et de déconnecter les réseaux sociaux pour n'y aller qu'à des moments dédiés à ceux-ci, j'étais un cordonnier très mal chaussé.

J’ai choisi de tenter de sensibiliser les utilisateurs des nouvelles technologies de l’information de la communication aux possibilités de dépendances en créant un site Web avec Google Sites et, j’ai utilisé mon blogue créé avec Blogger.

Chaque article ou sujets choisis a été mis en ligne sur le site, ensuite sur le blogue afin d’être partagé sur la page Diigo (avec les tags appropriés) du Groupe INF 6107, sur ma page Diigo, sur Twitter, sur la page Facebook du Groupe, sur ma page Facebook, sur la page de la communauté INF 6107 Google+, sur ma page Google+ et sur LinkedIn.

Activités

J’ai effectué des recherches avec mon agrégateur Netvibes qui m’a servi d’outil de veille, j’ai utilisé le moteur de recherche Google avec les mots clés suivants; cyperdependance, grand dictionnaire terminologique, la presse et infopresse.
Sur Twitter, j’ai trouvé des articles sur Rmc BFM de même qu’en suivant #cyberdépendance, #Addictionauxécrans, #dépendance internet.  Sur Facebook, j’ai suivi Cyberdépendance Québec, Combattre la Cyberdépendance et Stanford Students Against Addictive Devices.

Analyse

Afin d’analyser les statistiques de fréquentation de ma page, j’ai utilisé Google Analytics (en cliquant sur le lien, vous avez accès à tous les graphiques) pour la période du 28 mai au 22 juillet 2018 soit, sur huit semaines.

On remarque qu’à chaque publication d’articles, il y a eu des visites.  Pour tous les jours où je n’ai pas publié, il n’y a eu aucun mouvement.  Les visiteurs proviennent du Canada à 82.76 %, du Pérou à 6.90 %, des États-Unis à 6.90 % et de l’Irlande à 3.45 %.  Les référents sont diigo.com, sbraney.blogspot.com, facebook.com et m.facebook.com.

Il y a eu, au cours de cette période, 29 utilisateurs avec un nombre de session par utilisateur de 2.79, 115 pages (81 sessions x 1.42 pages/session) ont été vues avec une moyenne de 2 minutes 7 secondes.  Étant donné que je n’ai qu’une page, le taux de rebond est de 69.14 %.

Facteurs positifs et négatifs

Selon moi, ce qui a aidé à la visibilité de mon site, ce sont les vues sur mon blogue « il y a eu beaucoup plus de trafic sur le Blogue que sur le Site Web.  Voir les Statistiques du blogue » de même que le partage sur tous les sites décrit plus tôt.  Ce qui a nuit, c’est le nom de ma page « INF 6107 Web Social », en cherchant sur Google, j’ai trouvé mon blogue en page 3 mais, je n’ai jamais trouvé mon site même en l’ayant inscrit dans le moteur de recherche de Google et de Bing.

Bonne lecture !

mardi 17 juillet 2018

Les réseaux sociaux ou quand scroller devient une véritable addiction


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Doit-on se soucier de notre vie sociale dans le monde réel ? Pour ma part, je suis d'avis que nous devons tous et chacun être sensibilisé avec l'utilisation des réseaux sociaux. L'article qui suit nous mets en garde sur les risques potentiels.

dimanche 15 juillet 2018

Dépendance aux jeux vidéo : les parents paniquent


https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil

Une réflexion intéressante d'un « gamer » à l'attention des parents suite à la reconnaissance par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) du « trouble du jeu vidéo ». Cette vision nous amène à encadrer plutôt que proscrire les jeux vidéo.

mardi 10 juillet 2018