lundi 10 septembre 2018
Les vendanges en quatre questions
http://www.lapresse.ca/vins/actualites/201809/05/01-5195389-les-vendanges-en-quatre-questions.php
Le sujet des vendanges vous intéressent ? Voilà un article pertinent.
Cyberintimidation
La cyberintimidation est un fléau qui, à mon avis, est beaucoup trop banalisé par notre société. Il est facile lorsqu'on demeure anonyme d'insulter et de rabaisser une personne tout en étant bien à l'abri derrière un écran ! Est-ce que les intimidateurs auraient le courage de partager leurs écrits en face à face dans le monde réel...j'en doute !
À toutes les personnes qui en sont victimes, dénoncez vos agresseurs ! Je crois en la liberté d'expression dans un contexte de respect mutuel.
Pour tout ceux et celles que ont de l'intérêt sur ce sujet, Canal D diffuse un documentaire ce jeudi 13 septembre à 22h00.
À toutes les personnes qui en sont victimes, dénoncez vos agresseurs ! Je crois en la liberté d'expression dans un contexte de respect mutuel.
Pour tout ceux et celles que ont de l'intérêt sur ce sujet, Canal D diffuse un documentaire ce jeudi 13 septembre à 22h00.
lundi 27 août 2018
Synthèse du cours INF 6107
Activité-E
Synthèse
Ce bilan se veut une continuité de mes recherches sur la
dépendance aux nouvelles technologies de la communication et de l’information. Je parle ici d’un des impacts négatifs du web
social sur lequel les chercheurs ne s’entendent pas encore car très peu de
données sont disponibles à ce jour sur le sujet. Selon Magali Dufour, Directrice des
programmes d’intervention en toxicomanie à l’Université de Sherbrooke et l’une
des rares personnes à avoir mené une étude clinique sur le sujet, environ 1.5 à
2 % de la population serait dépendante à la technologie. Source : Dépendance
à Internet
Selon la Dre Marie-Anne Sergerie, il existe cinq types de
dépendance; le cybersexe ou cyberpornographie (la forme la plus répandue), la
cyber relation « à mon avis celle qui est la plus près du cours web social »
(rencontre en ligne, réseaux sociaux, texto, courriel, etc.), le trouble du jeu
vidéo en ligne (maintenant intégré dans le Manuel
diagnostique et statistique des troubles mentaux DSM-V),
les transactions en ligne (enchères, transactions boursières, achats en ligne,
etc.) et le cyber amassage « la quantité et la rapidité d’accès aux
informations sur le web a été grandement facilitée par les agrégateurs, section
1.4.2 du module 1, une personne peut facilement suivre plusieurs voire des
centaines de fils et, dans certains cas, en devenir dépendant » (quantités
d’informations amassées en ligne sur une longue période).
Pour plus d’informations : Cyberdépendance
Tout comme plusieurs inventions à travers les siècles (électricité,
télégraphe, imprimerie, journaux, radio, photographie, téléphone, télévision,
Internet) tel que lu à la section 8.2 du module 8, j’ai réalisé que le web
social a changé nos façons d’interagir en tant que société de la même façon
que, par exemple; l’usage social du téléphone décrit par Patrick Flichy dans
son ouvrage intitulé « Une histoire de la communication moderne, page 127 ».
Est-ce que c’est le web social qui a créé la dépendance
? La réponse est non, la télévision, à
titre d’exemple, a, elle aussi, mené certains auditeurs à développer des
comportements excessifs. On n’a qu’à
penser aux services de « Télé-Achats dans les années 1980 et, encore
aujourd’hui, Achetez-en un, obtenez le deuxième gratuitement » les produits y
sont présentés de façon à ce que si vous ne l’achetez pas, vous ne profitez pas
des nouvelles innovations au meilleur prix.
Plusieurs types de médias utilisent des méthodes semblables afin
d’accrocher les consommateurs. Chaque
nouvelle invention est sans conséquence pour la majorité des personnes mais, un
certain pourcentage de la population est plus sensible à développer une
dépendance.
Au niveau de la dépendance, le web social a modifié notre
façon de se comporter à l’intérieur de la société virtuelle. La possibilité de se représenter, comme nous
l’avons vu à la section 6.3 du module 6, de façon anonyme par des pseudonymes
ou des avatars mène à des comportements que plusieurs personnes n’auraient pas
dans la société réelle. Avez-vous déjà
vu une personne regarder un magazine « Playboy » sur le banc d’une rue
achalander…sûrement pas ! Cette même
personne peut regarder toutes sortes de photos ou vidéos à caractère sexuel sur
son écran sans que personne ne le remarque.
Inversement, certaine personne utilise leur identité ou leur
e-réputation section 6.7.2 du module 6 dans le but de projeter une image
améliorée de leur vie quotidienne, on le voit sur des plates-formes comme
Facebook. Une faible estime de soi peut
mener à une compensation sur le web social.
Au cours de mes recherches sur la cyberdépendance, j’ai
réalisé qu’il n’y a aucune structure formelle qui relie les différents
intervenants du milieu. Au contraire, ce
sujet divise la communauté scientifique laissant un trou béant au niveau des
statistiques et des données qui pourraient s’avérer précieuse pour ceux qui
travaillent auprès des personnes ayant des problèmes de dépendances.
Dans le but de valider mon hypothèse, j’ai
communiqué par courriel avec Madame Cathy Tétreault, Directrice générale du Centre Cyber-aide voilà son
opinion : « Même si la
cyberdépendance est reconnue par l’Organisation mondiale
de la santé
depuis juillet 2018, je pense que la division s’explique du fait que la
cyberdépendance n’est pas reconnue médicalement par le Manuel diagnostique et statistique des
troubles mentaux
DSM-V. Ce qui a pour résultat que très peu de subventions sont proposées pour
effectuer des études longitudinales ou plus spécifiques.
Les
chercheurs ont besoin de montants considérables pour effectuer des recherches
sur lesquelles nous pourrions nous baser, nous les intervenant.e.s sur le
terrain.
Avant
de fonder le Centre Cyber-aide, j’ai travaillé comme intervenante en prévention
pour la Maison L’Odyssée et après j’étais responsable du programme JHA au
Centre Casa.
Et
c’est lors de ces mandats que j’ai effectué des liens concrets avec internet et
les technologies et la dépendance au JHA. Mes recherches m’ont amené à faire
des liens que Kimberly Young avait faits en 1997. Je pensais avoir découvert
quelque chose d’extraordinaire.
Aussi,
il est important de vous dire que Magalie Dufour de l’Université de Sherbrooke,
qui est une pionnière au Québec en ce qui concerne la cyberdépendance, a pris
le temps de me conseiller dans mes débuts.
J’ai
toujours su que la cyberdépendance frapperait fort et que nous ne serions pas
prêt.e.s à y faire face. C’est pourquoi malgré les embûches et les réticences
j’ai continué à étudier et à travailler dans les écoles avec les
élèves, l’équipe école et les parents. Il est important de vous spécifier que
je ne suis pas thérapeute. Je réfère toujours au CRDQ ou à un médecin. Je
suis intervenante en prévention, consultante, conférencière, auteure et
formatrice.
Le
manque de structure formelle (selon moi) s’explique aussi par le fait que la
cyberdépendance n’était pas reconnue, personne ne pouvait s’afficher
publiquement pour la traiter. Je souligne souvent que les intervenant.e.s
formé.e.s en toxicomanie sont les plus aptes à accompagner les personnes
cyberdépendantes, jusqu’à ce que les professionnels/les de la santé, soient
formé.e.s.
Saviez-vous
qu'un cours de 1 crédit est offert à l’université Laval? La responsable du
programme est Madame Claire Grenier.
Pour
terminer, il y a aussi le site cyberdépendance.ca qui est géré par Anne-Marie Sergerie, une psychologue
spécialisée en traitement de la cyberdépendance.
»
La cyberdépendance est un trouble
classé comme « Addictif », le rôle des intervenants à l’heure actuelle est de
transposer leurs connaissances en dépendance addictive afin d’aider comme ils
le peuvent les personnes de tous âges à décrocher de leur dépendance aux
technologies de l’information et de la communication.
Les besoins des chercheurs comme
Madame Magali Dufour et des professionnels exemple : Dre Marie-Anne
Sergerie, sont d’ordre financier. Sans
apport de fonds, que ce soit pour la recherche ou pour le développement de
thérapie adéquate et de formation auprès
de tous les acteurs liés à cette problématique, rien ne permet de bonifier le
peu d’informations existantes et, qui plus est, il est impossible de créer une
structure d’information formelle qui pourrait, selon moi, prendre la forme d’un
portail web unique réunissant les renseignements et les ressources offrant la
possibilité à ceux et celles qui pensent avoir un problème ou à leurs
entourages de pouvoir consulter de façon anonyme et, au besoin, avoir accès au
soutien nécessaire (ligne téléphonique sans frais, clavardage avec un
intervenant, forum de discussion ou communauté privé tel que vu à la section
6.2 du module 6, etc.).
Dans un article écrit par
Mathilde Roy pour L’Actualité le 10 novembre 2017, Magali Dufour affirme ce qui
rejoint ce que je viens d’écrire dans le paragraphe précédent « Si les ressources manquent, c’est en partie
parce que la cyberdépendance n’est pas encore une pathologie reconnue dans le Manuel
diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM), la bible en
psychiatrie. Cette absence de statut
officiel empêche les organismes et autres professionnels de la santé d’obtenir
du financement supplémentaire. Les intervenants et les chercheurs attendent le
Plan d’action en matière de dépendance, que doit présenter le ministère
québécois de la Santé d’ici la fin de l’année, en espérant que du financement
pour la recherche et pour des services sera débloqué ».
« Il faut s’y intéresser et investir au Québec pour offrir des soins à
ces jeunes. Ils ont besoin d’aide ».
Source : L'Actualité
Prenez note que j’ai ajouté cet extrait d’article de L’Actualité qui
peut sembler redondant par rapport au paragraphe précédent. Le fait est que je l’ai découvert à la suite
d’une recherche sur Google avec les mots clés « cyberdépendance statistiques »
bien après l’avoir composé.
« Nos recherches
indiquent que les cyberdépendants perdent le contrôle de leur utilisation
d’internet, qui tourne souvent à l’obsession. Ils dépassent les limites de
temps qu’ils s’imposent ou qui leur sont imposées, ils y pensent sans arrêt.
Leur dépendance entraîne aussi des troubles fonctionnels, comme des conflits
familiaux, la perte de sommeil et d’appétit ou l’absentéisme à l’école ou au
travail, ainsi qu’une souffrance qui est cliniquement observable » résume
Magali Dufour à Eve Beaudin de l’Agence Science-Presse le 18 décembre 2017 Source : Journal
Métro
Afin de vérifier par moi-même et, après
avoir tenté plusieurs mots clés de recherche sur Google, j’ai eu les meilleurs
résultats en utilisant « thérapie cyberdépendance » :
Un portail de référence pour la
Capitale-Nationale :
CASA, centre ayant un programme de traitement
pour la cyberdépendance :
Le Grand Chemin, centre spécialisé pour
les adolescents offrant un service en cyberdépendance :
Comme nous avons pu le constater dans
le courriel de Madame Tétreault, ce sujet avait déjà été abordé au cours des
années 1990 par la Dre Kimberly Young, une psychologue agréée de renommée
internationale et experte des comportements en ligne et de la cyberdépendance. Elle a été la première personne à parler de
dépendance à Internet dans son ouvrage publié en 1998 intitulé « Caught in the
Net ».
Au cours des vingt dernières années, la
cyberdépendance a été socialement classée comme un sujet tabou au même titre
que plusieurs autres problématiques touchant la santé mentale. À ce jour, nous croyons qu’environ 1.5 à 2 %
de la population est concernée mais, avec si peu de données, est-ce
représentatif de la réalité ? J’en doute
!
On remarque une tendance récente par
rapport au côté plus sombre d’Internet, le web social est utilisé dans le but
de sensibiliser la population sur certains sujets autrefois tabou, que l’on
pense au documentaire « Bye
» où il est question de la quête d’un père :
« Thomas s’est enlevé la vie à 14 ans. Deux ans plus tard, son père
cherche toujours à comprendre ce qui l’a poussé à poser ce geste en ne laissant
qu’un seul mot en guise d’adieu : « Bye ». Dans sa quête de solutions
pour prévenir le suicide en ligne, Alexandre rencontre des adolescents, des
parents et différents experts afin de mieux cerner l’ampleur du phénomène de la
cyberdépendance et les enjeux actuels en santé mentale. Alexandre Taillefer ne
veut pas seulement comprendre, il veut que les choses changent. »
Source : La
quête d’Alexandre Taillefer pour comprendre le suicide de son fils
Une nouvelle série de dix épisodes
verra le jour cet automne sur TVA « Le Jeu ».
Il s’agit d’une fiction basée sur la cyber intimidation un fléau social
récent.
Est-ce que cette tendance d’usage du
web social dans le but de sensibiliser et soutenir les personnes vulnérables à
la cyberdépendance se poursuivra…je l’espère !
Dans un horizon à court terme soit dans
la prochaine année, je suis d’avis que nous assisterons à un statu quo. Nous lirons probablement quelques articles
par ci par là du moins ceux et celles qui suivent les fils RSS des personnes
qui travaillent sur ce sujet. Je
n’entrevois aucun changement significatif pour cette période.
À moyen terme soit, d’ici les
cinq prochaines années, on peut espérer que des études tel que Virtuado (voir
bilan sommaire Projet
de recherche VIRTUADO) aboutiront et que des projets similaires seront
menés auprès de la population en général, pas seulement chez les 12-17 ans, la
souffrance n’a pas d’âge. Description du
projet :
Qui sont les jeunes
cyberdépendants ?
« C’est le point de départ d’une toute première étude québécoise visant à
dresser le portrait clinique des jeunes qui se présentent dans les centres de
réadaptation en dépendance pour des problèmes de cyberdépendance. L'étude Virtuado est pilotée par la chercheuse
Magali Dufour, de l'Université de Sherbrooke, et financée par le ministère de
la Santé et des Services sociaux. Les
résultats préliminaires montrent que le problème est bien réel. « Ce n'est
pas une invention des journalistes », tranche la chercheuse Magali
Dufour. Elle explique également que le
problème touche majoritairement des garçons, chez qui on observe des
changements de comportements et qui passent en moyenne 56 heures par
semaine sur Internet, en plus de leurs heures d'école. Les résultats de l'étude Virtuado doivent
être publiés au cours des prochains mois ».
Nous sommes en pleine campagne
électorale, nous verrons le 1er octobre 2018 qui nous gouvernera et
qu’elle orientation le ou la nouvelle Ministre donnera quant à la suite du
dossier de la cyberdépendance.
D’ici vingt ans, comme je suis une
personne de nature optimiste, j’ose croire que la cyberdépendance sera bel et
bien reconnue comme une maladie et que les personnes faisant face à cette
réalité auront accès aux renseignements, ressources et soutien nécessaire à
leur guérison.
Souhaitons aussi que le
Ministère de la santé et des services sociaux (MSSS) dépasse le stade de pensée
actuelle qui est « Le ministère de la
Santé et des Services sociaux (MSSS) travaille à la production d'un nouveau
plan d'action en dépendance. À l'heure actuelle, impossible de savoir si ce
plan comprendra ou non la cyberdépendance.
Alors, à quand une
reconnaissance officielle du problème ?
« Actuellement, dans nos orientations ministérielles, on considère
la cyberdépendance comme un phénomène en émergence et on est à documenter ce
phénomène », explique Lynne Dugay, qui est à la tête de la Direction des
dépendances et de l'itinérance du MSSS.
En conclusion
Selon Michel
Cartier, section 8.4 du module 8
« L'être humain vit dans un espace-temps qui
façonne la conscience qu'il a de son environnement. Or, parce qu'Internet
modifie cet espace-temps, il devient le miroir et le catalyseur des mutations
qu'il intensifie pour le meilleur ou pour le pire ».
L’avènement d’Internet, du web social
et de tous les dérivés (applications, plates-formes de réseautage, etc.), nous a
mené en tant que société à suivre une évolution rapide et constante, nous
voyons de nouvelles applications se développer dans tous les secteurs
(bancaire, alimentaire, vente et échange, jeux, etc.). Même les chaînes de restauration rapide
(exemple Mc Donalds) à son application facilitant la vie de l’utilisateur qui
peut maintenant, en plus de localiser la succursale la plus près de lui,
profiter de la commande mobile et même payer via Visa ou Mastercard Débit à
partir de son téléphone intelligent.
Le web social continue d’évoluer année
après année, bien malin celui qui pourrait prédire jusqu’où cela nous mènera.
Comme par le passé, notre société
s’adapte à cette nouvelle ère qu’est celle du village global, les frontières
sont tombées et nous avons un accès ad
hoc aux informations à l’échelle planétaire. Ces nouvelles technologies de l’information
et de la communication font en sorte que nous sommes devenus « hyperconnectés »
et que tout se passe à la vitesse de l’éclair.
Pour certains, il s’agit d’un agent
facilitateur au niveau professionnel, pour d’autres cela permet de briser
l’isolement en ayant la possibilité de communiquer avec des personnes ayant les
mêmes intérêts (les communautés section 6.2.2 du module 6).
Pour le pourcentage ayant une
prédisposition à la dépendance, leur nombre croîtra étant donné la
disponibilité et le faible coût d’accès à Internet.
jeudi 23 août 2018
Jeunes connectés, parents informés
https://www.miditrente.ca/fr/produit/jeunes-connectes-parents-informes
Ce guide pratique simple et complet a pour but de répondre à toutes les questions en lien avec le cyberespace. Il parle des phénomènes importants comme la cyberdépendance et la cybercriminalité, en plus d’aborder les sujets sensibles du sexting chez les jeunes et de la cyberintimidation. Il s'avère un outil important pour toutes les personnes que ces sujets préoccupent.
mercredi 15 août 2018
Le vin bleu débarque en France
http://www.lapresse.ca/vins/actualites/201808/12/01-5192769-le-vin-bleu-debarque-en-france.php
Un vin bleu...ça vous intéresse ?
Un vin bleu...ça vous intéresse ?
La bière la moins chère au pays se vend au Québec
http://www.lapresse.ca/affaires/economie/agroalimentaire/201808/15/01-5193074-la-biere-la-moins-chere-au-pays-se-vend-au-quebec.php
Est-ce que le prix de la bière influence votre consommation ?
dimanche 12 août 2018
Lâche ton cell!
https://www.lesoleil.com/le-mag/lache-ton-cell-2f4cf5fb89bd3785d75537ad4c86b830
Cette chronique écrite par une mère est très intéressante, elle relate des problématiques certes mais, offre des informations et des solutions utiles à tous.
Prenez le temps de le lire en entier même s'il est long, ça vaut la peine !
dimanche 5 août 2018
Vins du Québec: la façon Camy
http://www.lapresse.ca/vins/201808/04/01-5191939-vins-du-quebec-la-facon-camy.php
Une belle découverte et un beau success story !
Une belle découverte et un beau success story !
lundi 23 juillet 2018
Bilan Activité-B
Initiative
J'ai choisi la Cyberdépendance car, suite
au développement rapide des technologies de l'information et de la
communication, certaines personnes sont devenues dépendantes de leur
ordinateur, de leur tablette ou de leur téléphone intelligent. Selon la Dre Marie-Anne Sergerie, Ph.D. «
L’individu peut en venir à prioriser les cyberrelations plutôt que de mettre
l’accent sur les relations sociales et familiales présentes dans la vie réelle.
» Source : Cyberdépendance
Dans mon cas, ça a duré plus de dix ans.
J'étais toujours en mode veille, dès qu'un appareil (Ordinateur, tablette ou
téléphone) annonçait une notification, c'était plus fort que moi, il fallait
que je vois de quoi il s'agissait. En
tant que consultant en management, j'ai développé plusieurs formations dont une
portant sur la « Gestion du temps » à l'intérieure de laquelle je suggérais,
entre autres, de vérifier les courriels à des heures déterminées, de même pour
les messages vocaux et de déconnecter les réseaux sociaux pour n'y aller qu'à
des moments dédiés à ceux-ci, j'étais un cordonnier très mal chaussé.
J’ai choisi de tenter de sensibiliser les utilisateurs des
nouvelles technologies de l’information de la communication aux possibilités de
dépendances en créant un site Web avec
Google Sites et, j’ai utilisé mon blogue
créé avec Blogger.
Chaque article ou sujets choisis a été mis en ligne sur le
site, ensuite sur le blogue afin d’être partagé sur la page Diigo (avec les
tags appropriés) du Groupe INF 6107, sur ma page Diigo, sur Twitter, sur la page Facebook du Groupe,
sur ma page Facebook,
sur la page de la communauté INF 6107 Google+,
sur ma page Google+
et sur LinkedIn.
Activités
J’ai effectué des recherches avec
mon agrégateur Netvibes
qui m’a servi d’outil de veille, j’ai utilisé le moteur de recherche Google avec les mots clés suivants;
cyperdependance, grand dictionnaire terminologique, la presse et infopresse.
Sur Twitter,
j’ai trouvé des articles sur Rmc BFM de même qu’en suivant #cyberdépendance,
#Addictionauxécrans, #dépendance internet.
Sur Facebook, j’ai suivi
Cyberdépendance Québec, Combattre la Cyberdépendance et Stanford Students
Against Addictive Devices.
Analyse
Afin d’analyser les statistiques
de fréquentation de ma page, j’ai
utilisé Google
Analytics (en cliquant sur le lien, vous avez accès à tous les graphiques)
pour la période du 28 mai au 22 juillet 2018 soit, sur huit semaines.
On remarque qu’à chaque
publication d’articles, il y a eu des visites.
Pour tous les jours où je n’ai pas publié, il n’y a eu aucun
mouvement. Les visiteurs proviennent du
Canada à 82.76 %, du Pérou à 6.90 %, des États-Unis à 6.90 % et de l’Irlande à
3.45 %. Les référents sont diigo.com,
sbraney.blogspot.com, facebook.com et m.facebook.com.
Il y a eu, au cours de cette
période, 29 utilisateurs avec un nombre de session par utilisateur de 2.79, 115
pages (81 sessions x 1.42 pages/session) ont été vues avec une moyenne de 2
minutes 7 secondes. Étant donné que je n’ai
qu’une page, le taux de rebond est de 69.14 %.
Facteurs positifs et négatifs
Selon moi, ce qui a aidé à la
visibilité de mon site, ce sont les vues sur mon blogue « il y a eu beaucoup plus de trafic sur le Blogue que sur le Site Web. Voir les Statistiques du blogue » de même que le partage
sur tous les sites décrit plus tôt. Ce
qui a nuit, c’est le nom de ma page « INF 6107 Web Social », en cherchant sur
Google, j’ai trouvé mon blogue en page 3 mais, je n’ai jamais trouvé mon site
même en l’ayant inscrit dans le moteur de recherche de Google et de Bing.
Bonne lecture !
mardi 17 juillet 2018
Les réseaux sociaux ou quand scroller devient une véritable addiction
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Doit-on se soucier de notre vie sociale dans le monde réel ? Pour ma part, je suis d'avis que nous devons tous et chacun être sensibilisé avec l'utilisation des réseaux sociaux. L'article qui suit nous mets en garde sur les risques potentiels.
lundi 16 juillet 2018
Empêchez des apps de collecter des informations sur votre compte Google
https://www.francoischarron.com/feedrss/-/kHZy2Bc82p/
Comment retirer les accès et mots de passe sur Google
Comment retirer les accès et mots de passe sur Google
Connaissez-vous le vinho verde?
http://www.lapresse.ca/vins/actualites/201807/12/01-5189308-connaissez-vous-le-vinho-verde.php
C'est une découverte pour moi, je vous la partage avec plaisir.
Bonne dégustation
dimanche 15 juillet 2018
Dépendance aux jeux vidéo : les parents paniquent
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Une réflexion intéressante d'un « gamer » à l'attention des parents suite à la reconnaissance par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) du « trouble du jeu vidéo ». Cette vision nous amène à encadrer plutôt que proscrire les jeux vidéo.
mardi 10 juillet 2018
Quel est l’impact des réseaux sociaux sur le moral des jeunes ?
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Ma vision des technologies de l'information et de la communication ont changées au fil des mes recherches. Prenez le temps d'aller lire mon opinion, ça vaut la peine.
J'aimerais avoir votre opinion; http://sbraney.blogspot.com/2018/05/reflexion-sur-la-cyberdependance.html
mardi 3 juillet 2018
mercredi 27 juin 2018
Cyberdépendance : la technologie est-elle toxique ?
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Pour moi ce ne sont pas les nouvelles technologies de l'information et de la communication qui pose problème, je dirais plutôt que c'est l'utilisation que nous en faisons qui peut potentiellement être toxique. Prenez connaissance de l'article qui suit et écrivez-moi vos commentaires sur mon Blogue
mardi 26 juin 2018
Reconnaître la cyberdépendance pour mieux la soigner
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Comme il s'agit d'un phénomène récent, la dépendance aux jeux vidéo est peu documenté au Québec. Environ 3 % des gamers seraient dépendants, la majorité réussisse à trouver un juste équilibre. L'Organisation mondiale de la santé ( OMS ) a ajouté le « Trouble du jeu vidéo » à son classement car, selon certains experts, la problématique est en croissance.
Dépendance aux réseaux sociaux : le cri d'alarme d'ex-cadres de Facebook et de Google
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Des ex-cadres faisant partie des débuts de Facebook et Google ont créé le Center for Humane Technology dans le but de sensibiliser les consommateurs sur les outils utilisés pour capter leurs attention et les garder rivés à leurs écrans.
lundi 18 juin 2018
Comment prévenir l’utilisation problématique des nouvelles technologies ou les ennuis ?
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
En lisant cette information sur le site Cyberdépendance.ca créé en 2008 par la Dre Marie-Anne Sergerie qui s’intéresse aux aspects psychologiques et sociaux d’Internet et des technologies de l’information et de la communication depuis une vingtaine d’années, je me suis rappelé un exercice avec ma fille qui était une jeune adolescente à l'époque. Comme je suis paralysé des quatre membres, nous avions de petits jeux « style Adibou » que nous utilisions sur mon ordinateur. Lorsqu'elle allait en ligne, nous discutions de ce qu'elle y faisait et, un jour où elle était en conversation sur « Caramail » avec une supposé fille de son âge, j'ai trouvé les propos de son interlocuteur ou interlocutrice plutôt bizarre. C'est alors que j'ai eu l'idée de lui montrer que je pouvais me créer un compte de fillette de 12 ans. Elle a pris conscience qu'elle ne pouvait pas se fier à tout ce qui est écrit à l'écran. Le lien qui suit vous soutiendra dans votre démarche de prévention.
Instagram : le temps que vous passez sur l’application bientôt dévoilé
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Lorsque des géants tels Instagram, Facebook et Google travaillent sur une fonction vous permettant de connaître le temps passé sur une application, c'est qu'il est temps de se remettre en question en tant que société.
Lorsque des géants tels Instagram, Facebook et Google travaillent sur une fonction vous permettant de connaître le temps passé sur une application, c'est qu'il est temps de se remettre en question en tant que société.
À l’université de Stanford, des étudiants partent en guerre contre l’addiction aux écrans
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
En effectuant une recherche sur Twitter « #Addictionauxécrans », j'ai trouvé cet article qui nous démontre que le phénomène de Cyberdépendance préoccupe même des étudiants en informatique de l'Université Stanford. Ici, on ne parle pas seulement d'addiction aux réseaux sociaux mais bel et bien aux appareils connectés. Leurs interventions ciblent la compagnie Apple mais pour moi, ça peut être le cas avec tous les types d'appareils ; Téléphones intelligents, Tablettes, Ordinateurs de bureau ou portables et toutes les consoles de jeux.
vendredi 15 juin 2018
Evaluer votre dépendance à internet : test IAT (Internet Addiction Test)
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Je vous propose un petit test qui ne prend que quelques minutes. Je l'ai fais le plus honnêtement possible et je ne suis pas dépendant d'Internet mais, je dois demeurer prudent :o)
jeudi 14 juin 2018
15 mois de prison et une thérapie pour pornographie juvénile
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Voyez jusqu'où la Cyberdépendance peut vous mener ! Je suis grand-père d'une petite fille de 20 mois et j'ai été choqué en lisant cet article. Impossible d'y rester insensible, lisez-le.
Surfer sur la vague du numérique
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Les enfants et les adolescents passent un nombre toujours grandissant d’heures devant les écrans soit, en moyenne 7 heures 48 minutes pour les 10 ans et plus. Source : L'école comme rempart au tsunami numérique
Écrans : comment sortir de l'emprise ?
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Cet article représente bien ce que plusieurs d'entre nous vivons au quotidien et nous propose des pistes de solutions intéressantes.
vendredi 8 juin 2018
Cyberdépendance : Comprendre et agir !
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Le livre « Les Accros d'Internet » publié en 2004 par Jean-Pierre Rochon, psychologue, a fait beaucoup réagir.
Cinq mousseux pour attendre l'été
http://www.lapresse.ca/vins/201806/08/01-5184965-cinq-mousseux-pour-attendre-lete.php
L'été est à nos portes, voici quelques suggestions pour les amateurs de mousseux.
mardi 5 juin 2018
Le CFP pionnier en prévention de la cyberdépendance
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Une initiative que je trouve brillante pour la sensibilisation à la Cyberdépendance. Il s'agit d'un modèle relativement facile à reproduire dans les milieux pouvant mener à une problématique de dépendance.
lundi 4 juin 2018
La Cyberdépendance chez les jeunes
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Un adolescent dépendant passe de 40 à 60 heures sur le Web. Chez les adultes, on parle de 66 heures ! Vous trouverez deux hyperliens sur mon site sur la Cyberdépendance. Prenez le temps d'en prendre connaissance.
samedi 2 juin 2018
La déconnexion à l'ère de l'angoisse numérique
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Selon Amnon Jacob Suissa, Sociologue, « le citoyen numérique évolue dans les conditions propices au développement d’un trouble de cyberdépendance ». Est-ce que notre cyberactivité est addictive ?
vendredi 1 juin 2018
Hyperconnexion au travail
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Sommes-nous moins productif en étant hyperconnecté au travail ? Lisez l'article qui suit et dites-moi ce que vous en pensez.
Quels sont les types de Cyberdépendance ?
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
La Cyberdépendance prend diverses formes. L'article que je viens d'ajouter sur mon site vous permettra de mieux les comprendre.
mardi 29 mai 2018
Réflexion sur la Cyberdépendance
https://sites.google.com/view/inf6107websocial/accueil
Ce site est un travail en cours, j'y ajouterai régulièrement les résultats de mes recherches sur la Cyberdépendance. Je vous demande de venir le visiter fréquemment et de me faire part de vos commentaires sur le sujet ici.
Merci de votre soutien
vendredi 25 mai 2018
Génération Z / Milléniaux / Bébé-boomers : l’usage des réseaux sociaux évolue selon les générations
https://isarta.com/infos/?p=55184
Cet article traite des diverses façons de voir et d'utiliser les réseaux sociaux par génération.
Est-il possible pour une entreprise Québécoise d'être compétitive au niveau du commerce électronique ?
https://monsieurecommerce.com/e-commercants-quebecois-desavantages/#comment-661
Parfois, il y a des aberrations qui nous jettent en bas de nos chaises...en voici une !
Ce billet contient un hyperlien qui intéressera tout ceux qui ont un intérêt dans le e-commerce.
Les expéditions de Google Home dépassent celles d'Amazon Echo
https://www.journaldunet.com/ebusiness/internet-mobile/1194558-les-expeditions-de-google-home-depassent-celles-d-amazon-echo/
Google Home, Google Home Mini et Google Home Max ! La concurrence est féroce dans le développement d'assistant virtuel, tous les grands joueurs veulent avoir le meilleur produit.
Google offre trois assistant et, pour la première fois, a dépassé le Echo distribué par Amazon.
Pour l'instant, les avis semble plutôt partagés par rapport à ce que cet assistant peut, ou ne peut pas, faire.
Je vous laisse vous faire votre propre idée à savoir si, selon vous, on verra un produit pratique et fonctionnel ou si ça deviendra tout simplement un gadget à la mode pour un certain temps.
Google Home, Google Home Mini et Google Home Max ! La concurrence est féroce dans le développement d'assistant virtuel, tous les grands joueurs veulent avoir le meilleur produit.
Google offre trois assistant et, pour la première fois, a dépassé le Echo distribué par Amazon.
Pour l'instant, les avis semble plutôt partagés par rapport à ce que cet assistant peut, ou ne peut pas, faire.
Je vous laisse vous faire votre propre idée à savoir si, selon vous, on verra un produit pratique et fonctionnel ou si ça deviendra tout simplement un gadget à la mode pour un certain temps.
Vins et BBQ: du fruit et de la fraîcheur, svp!
http://www.lapresse.ca/vins/veronique-rivest/201805/23/01-5182876-vins-et-bbq-du-fruit-et-de-la-fraicheur-svp.php
Pour les amateurs de vins et de BBQ, cet article nous propose des accords mets et vins intéressants et diversifiés.
mercredi 23 mai 2018
Boom des travailleurs autonomes
http://www.journaldemontreal.com/2016/03/27/boom-des-travailleurs-autonomes
Les espaces à bureaux collectifs se développent partout dans le monde. Ce phénomène s'explique par l'augmentation constante de travailleur autonome. Cet article m'a interpellé car ayant moi-même été consultant en management durant douze ans, j'aurais adoré avoir accès à un tel concept.
De plus, on y retrouve plusieurs références à des concepts du cours de Web social. On y parle de mise en commun de services, de réseaux, de collaboration, de groupes de travail et, de communautés.
Voilà quelques exemples de ces espaces;
Le GAB Café : https://www.gab.ae/
Le Wework : https://www.wework.com/fr-CA/
Le ECTO coworking coopératif : http://ecto.coop/
L'Anticafé : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/760612/anticafe-temps-montreal
vendredi 18 mai 2018
Être geek aujourd'hui, ça veut dire quoi ?
https://www.numerama.com/pop-culture/268443-etre-geek-en-2017-ca-veut-dire-quoi.html
Voilà l'observation participative du Docteur en sciences de l'information et de la communication David Peyron.
Hacker Ethic
La communauté des hackers base sa philosophie sur le partage et la gratuité en ce sens qu'en comparaison avec notre société basé sur le capitalisme (tout est axé sur le profit), ceux-ci développent selon une éthique qui va à l'encontre de ce que nous connaissons.
Il s'agit d'une éthique que tous doivent adoptés afin de prétendre à être acceptés en tant que hacker. Les hackers sont des passionnés qui mettent leurs ressources en commun afin de partager des outils informatiques gratuit et libre de droit. C'est une culture basé sur l'ouverture, on y parle de logiciel «Open Source», de «Work in progress» et d'autres termes semblables toujours dans l'optique que l'information doit circuler librement. On leur doit, entre autres, Open Office, Mozilla Firefox etc.
Certains hackers se sont regroupés afin de créer des espaces de travail partagé, il brise les conventions en ayant des valeurs différentes des entreprises traditionnelles. Ils ne sont pas motivés par l'argent, ils n'ont pas de hiérarchie, ils sont passionnés, créatifs et collaborent en s'amusant de même qu'en partageant leurs savoirs avec le groupe.
Il est important de ne pas confondre le terme «Hacker» qui est une personne honnête au service des autres du terme «Cracker» qui lui réfère à l'individu malveillant dont le but est de nuire aux autres, ces derniers n'adhèrent à aucun code d'éthique.
Il s'agit d'une éthique que tous doivent adoptés afin de prétendre à être acceptés en tant que hacker. Les hackers sont des passionnés qui mettent leurs ressources en commun afin de partager des outils informatiques gratuit et libre de droit. C'est une culture basé sur l'ouverture, on y parle de logiciel «Open Source», de «Work in progress» et d'autres termes semblables toujours dans l'optique que l'information doit circuler librement. On leur doit, entre autres, Open Office, Mozilla Firefox etc.
Certains hackers se sont regroupés afin de créer des espaces de travail partagé, il brise les conventions en ayant des valeurs différentes des entreprises traditionnelles. Ils ne sont pas motivés par l'argent, ils n'ont pas de hiérarchie, ils sont passionnés, créatifs et collaborent en s'amusant de même qu'en partageant leurs savoirs avec le groupe.
Il est important de ne pas confondre le terme «Hacker» qui est une personne honnête au service des autres du terme «Cracker» qui lui réfère à l'individu malveillant dont le but est de nuire aux autres, ces derniers n'adhèrent à aucun code d'éthique.
jeudi 17 mai 2018
Le Glider - D'où vient ce symbole de la culture hacker ?
https://korben.info/le-glider-dou-vient-ce-symbole-de-la-culture-hacker.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+KorbensBlog-UpgradeYourMind+%28Korben%27s+Blog+-+Upgrade+Your+Mind%29&utm_content=Netvibes
En 2003, Éric Raymond un hacker dont nous parlons dans le module 7 qui est un partisan du développement en «open source», a proposé ce symbole afin de permettre aux hackers de se reconnaître et de s'affirmer.
mercredi 16 mai 2018
Annuaire de sites personnel de vins
http://www.vinup.com/amateur.lasso?&recherche=perso&titre-page=Les-sites-web-personnels-et-amateurs-de-vin&page=Passionnes-persos-clubs-amateurs
Je m'intéresse aux bons vins rouges, aux portos de même qu'aux whiskys irlandais, en effectuant quelques recherches, j'ai trouvé un annuaire de site Web personnel que je vais pouvoir consulter et assurément échanger avec d'autres amateurs.
Je m'intéresse aux bons vins rouges, aux portos de même qu'aux whiskys irlandais, en effectuant quelques recherches, j'ai trouvé un annuaire de site Web personnel que je vais pouvoir consulter et assurément échanger avec d'autres amateurs.
mardi 15 mai 2018
L'évolution du Web
https://www.multiplemedia.com/blog/levolution-du-web
Ce billet nous permet de comprendre le Web depuis le début soit le Web passif ensuite le Web participatif ou collaboratif et maintenant, le Web sémantique tout ça...en seulement 27 ans.
Culture d'experts ou culture d'amateurs ?
http://www.vizmatic.com/apprenez-a-programmer-en-dix-ans/lang/fr
Dans l'article ci-haut, Peter Norvig démontre qu'il est impossible de devenir un expert de la programmation en quelques jours...c'est bien évident et ce, pour tous les champs d'expertise.
Éric Raymond nous dit qu'un des meilleurs programmeurs qu'il ait embauché n'avait qu'un diplôme d'études secondaire. Quant à Alan Perlis, il croit qu'il y a des individus qui, avec un encadrement adéquat, peuvent devenir d'excellent programmeur.
En tenant compte de la théorie cognitive de l'expertise, un amateur passionné qui pratique une discipline, durant dix ans ou dix milles heures, en plaçant la barre toujours plus haute et en se donnant le droit à l'erreur dans le but de s'améliorer peut-il devenir un expert ?
Je suis un amateur de football canadien. Pour moi, une personne comme Pierre Vercheval ou Matthieu Proulx par exemple qui, suite à leur carrière de joueur, sont devenus des experts dans leur domaine et peuvent utiliser cette expertise afin de nous décrire les matchs.
samedi 12 mai 2018
La protection de la vie privée et l’Internet des objets
https://www.priv.gc.ca/fr/sujets-lies-a-la-protection-de-la-vie-privee/technologie-et-vie-privee/02_05_d_72_iot/
Ce billet porte sur la vie privée...est-ce possible dans le monde branché d'aujourd'hui ?
Je crois que pour pouvoir prétendre avoir une identité privée, il faut vivre sur une île déserte où aucune technologie n'est disponible. Nous sommes catalogué que nous le voulions ou non, nos coordonnées se retrouvent partout...pensez-y, qui n'a rien à son nom. Que l'on pense à l'électricité, le téléphone, la télévision...nous devons donner nos informations personnelles sans quoi, pas de services. Imaginez ceux et celles qui ont plusieurs autres appareils tels cellulaire, ordinateur de bureau ou portable, tablettes et autres gadgets de toutes sortes.
Combien d'entre-vous utilise, par exemple, un logiciel de traçage pour localiser les enfants, même les véhicules et les maisons sont bien souvent connectés à Internet à travers diverses fonctions qui transmettent des données sans que nous le sachions.
L'hyperlien vous dirige vers des conseils de protection. J'attire cependant votre attention sur le conseil de lecture de l'information sur la protection de la vie privée qui, la majorité du temps est inclus dans les conditions d'utilisation. Je vous invite à prendre connaissance de l'article suivant d'un graphiste ayant imprimés les conditions d'utilisation des réseaux sociaux que nous utilisons tous;
https://www.francetvinfo.fr/internet/reseaux-sociaux/reseaux-sociaux-il-montre-la-longueur-des-conditions-d-utilisation-acceptees-les-yeux-fermes-par-les-utilisateurs_2740915.html
Bonne lecture
mercredi 9 mai 2018
Empreinte numérique – Identité numérique – Réputation numérique ou comment se profiler en ligne ?
http://www.childfocus.be/fr/prevention/securite-en-ligne/professionnels/les-reseaux-sociaux/empreinte-numerique-identite
Ce billet décrit l'importance d'être vigilant et de sensibiliser les enfants, de même que les adultes, par rapport aux écrits et aux traces que nous laissons de façon permanente lorsque nous naviguons sur Internet. Ce billet est axé sur trois définitions soit celle de notre empreinte numérique, notre identité numérique et notre réputation numérique.
Il est primordial de penser avant d'écrire car parfois, sur un « coup de tête » nous répliquons à un commentaire ou nous cliquons sur des émoticônes reflétant notre émotion du moment ( nous sommes humains, ça nous arrive tous à un moment ou à un autre ). Cette impulsivité se retrouve bien souvent vu, ou lu, par un nombre « x » de personnes qui, par la suite, peuvent baser leur opinion de nous sur ces gestes.
Ce module m'a permis de voir à quel point il peut être difficile de construire et, facile de détruire, notre réputation sur le Web social.
jeudi 26 avril 2018
10 informations surprenantes sur l’usage d’Internet dans le monde
https://isarta.com/infos/?p=54194
Ce billet s'adresse à tout ceux et celles qui aiment les statistiques. Par exemple, 54 % de la population mondiale a accès à Internet. On y apprend des choses très intéressantes.
Cependant, le billet sert aussi à illustrer ce qu'est un « objet social », un terme que j'ai appris dans le cadre de mon cours et, que j'avais envie de partager avec vous.
Voici la description tirée du site web de mon cours
« Les caractéristiques essentielles d’un objet social sur le web sont donc :
- l’existence de « verbes », donc d’actions que l’on peut poser vis-à-vis d’un objet, par exemple, créer, transmettre, partager, imprimer, télécharger, ajouter, écouter, visionner, étiqueter, collaborer, commenter, regrouper, « favoriter » (ajouter à ses favoris), clavarder, transclure, faire un lien ;
- la possibilité de tenir des conversations autour de l’objet, soit de façon étroitement couplée à l’objet (par exemple par l’intermédiaire de commentaires attachés) ou à distance au moyen d’hyperliens. »
Quel statut juridique pour les plateformes en ligne ?
https://www.usine-digitale.fr/article/quel-statut-juridique-pour-les-plateformes-en-ligne.N466123
Comme nous pouvons le constater dans cette article, les types de plateformes en ligne se sont multipliés au cours des dernières années. Il y a les moteurs de recherche exemple Google, les plateformes de partage exemple Youtube, les plateformes de mise en relation exemple Uber, les réseaux sociaux exemple Facebook, les sites de comparaison et de réservation exemple Trivago, les plateformes d'enchères exemple Ebay et les plateformes de vente ou d'échange exemple Kijiji.
Le parangon de l'économie numérique, la plateforme en ligne occupe maintenant une place tellement importante que la France en est venu, le 7 octobre 2016, à se doter de la Loi pour une République numérique. Prenez le temps de lire l'article au complet, la question ou la réflexion que nous propose Me Pascal Agosti est dès plus pertinente ces temps-ci !
mardi 24 avril 2018
Économie de l’attention: la conquête des cerveaux
https://trends.cmf-fmc.ca/fr/blog/economie-de-lattention-la-conquete-des-cerveaux
J'ai choisi ce billet car il m'a permis de pousser plus loin mon apprentissage de ce sujet qui, malgré qu'il s'agit d'un phénomène datant de l'arrivée de la radio en 1920, n'a été nommé ainsi qu'en 1978 par le Prix Nobel d'économie Monsieur Herbert Simon.
Depuis, l'économie du savoir a fait l'objet de plusieurs recherches et des ouvrages ont été publiés.
J'ai choisi ce billet car il m'a permis de pousser plus loin mon apprentissage de ce sujet qui, malgré qu'il s'agit d'un phénomène datant de l'arrivée de la radio en 1920, n'a été nommé ainsi qu'en 1978 par le Prix Nobel d'économie Monsieur Herbert Simon.
Depuis, l'économie du savoir a fait l'objet de plusieurs recherches et des ouvrages ont été publiés.
Les médias traditionnels ont toujours la cote.
http://www.infopresse.com/archive/article/40257
Un article intéressant datant de 2012 directement en lien avec le module 4. On y parle de crédibilité, de confiance et d'influenceurs.
Un article intéressant datant de 2012 directement en lien avec le module 4. On y parle de crédibilité, de confiance et d'influenceurs.
lundi 23 avril 2018
Gérer la mobilité avec le travail à distance : un défi pour les entreprises et les travailleurs
https://www.generation-nt.com/gerer-mobilite-entreprise-travailleur-teletravail-travail-distance-actualite-1953029.html
Les défis auxquels font face les administrateurs de réseaux d'entreprises afin de protéger les données.
Y a-t-il des télétravailleurs parmi vous ?
Les défis auxquels font face les administrateurs de réseaux d'entreprises afin de protéger les données.
Y a-t-il des télétravailleurs parmi vous ?
Nuance entre le blogue et les réseaux sociaux tels, Facebook, Twitter et autres
Lien: http://coreight.com/content/blogs-VS-reseaux-sociaux-la-guerre-du-web-n-aura-pas-lieu
Pour un débutant qui, comme moi, fait ses premiers pas dans le monde des réseaux sociaux, il est difficile de bien comprendre les caractéristiques propres à chacun. Le module 3 nous explique très bien la structure, l'origine et la technologie des blogues.
Je partage avec vous ce billet qui vient confirmer ce que nous avons lu dans ce module et, plus encore, il fait le point sur les rôles et complémentarités de chaque types de médias sociaux que l'on retrouve sur le Web.
Pour un débutant qui, comme moi, fait ses premiers pas dans le monde des réseaux sociaux, il est difficile de bien comprendre les caractéristiques propres à chacun. Le module 3 nous explique très bien la structure, l'origine et la technologie des blogues.
Je partage avec vous ce billet qui vient confirmer ce que nous avons lu dans ce module et, plus encore, il fait le point sur les rôles et complémentarités de chaque types de médias sociaux que l'on retrouve sur le Web.
Community Manager, un métier en perpétuelle évolution
La personne que l'on nomme "Community Manager" ou "Animateur de communauté(s) web" est devenu une profession, que ce soit comme salarié ou comme travailleur autonome. Au début de mes études à la Téluq, en 1999, j'ai été présent sur plusieurs forums, ou communautés de discussions et, on parlait alors de modérateur ou cyberanimateur.
Qui aurait pu prédire que ces modérateurs deviendrait, depuis quelques années, des professionnels de la communication qui s'occupe, entres autres, de la gestion de pages Facebook, de comptes Twitter, de blogues, de développement de stratégies de marque de commerce, etc. !
Je vous invite à lire cet article très intéressant sur ce métier, on n'y présente les tâches de même que les qualités et compétences nécessaires.
jeudi 19 avril 2018
Présentation
Bonjour,
Suite à mon accident de plongeon
survenu le 22 juillet 1994, je suis devenu tétraplégique (paralysé des quatre
membres). J’ai toujours fait mon possible afin de réintégrer la société à
part entière. Du côté personnel, ça s’est bien passé, je me suis impliqué
dans la communauté au sein de plusieurs conseils d’administration, j’ai créé ma
fondation (1998-2013) afin d’aider ceux qui n’ont pas eu la chance d’être bien
entouré comme je l’ai été par ma famille et mes amis. Je fais des
conférences sur la prévention des accidents de loisirs de même que sur la
motivation et la beauté de la vie.
Suite à mes démarches afin de retourner sur le marché du travail, infructueuse malheureusement, je suis retourné aux études à l’âge de 32 ans et, 5 ans plus tard, j’ai obtenu mon baccalauréat en administration des affaires à la Téluq. Ne trouvant toujours pas d’emploi me permettant de me réaliser professionnellement, j’ai démarré ma propre entreprise en devenant consultant en management. Celle-ci m’a permis de subvenir à mes besoins et couvrir mes frais d’équipements et d’accompagnement jusqu’en 2013.
Suite à mes démarches afin de retourner sur le marché du travail, infructueuse malheureusement, je suis retourné aux études à l’âge de 32 ans et, 5 ans plus tard, j’ai obtenu mon baccalauréat en administration des affaires à la Téluq. Ne trouvant toujours pas d’emploi me permettant de me réaliser professionnellement, j’ai démarré ma propre entreprise en devenant consultant en management. Celle-ci m’a permis de subvenir à mes besoins et couvrir mes frais d’équipements et d’accompagnement jusqu’en 2013.
Lorsque j’ai débuté mes études,
je voulais valider ma capacité à poursuivre une formation universitaire. Dès la complétion du certificat en
administration, j’ai voulu aller au baccalauréat et, à la suite de son
obtention, j’aurais aimé poursuivre à la maîtrise. Comme à cette époque j'avais quelques
contrats, j’ai mis ce projet de côté et, je me suis consacré au travail de même
qu’à ma famille.
Aujourd’hui, mes enfants ont vingt-cinq et vingt et un ans, j’ai cinquante ans et je suis grand père depuis le mois de septembre 2016. Je désire maintenant me consacrer à mon projet de maîtrise et, ensuite, poursuivre au doctorat.
J’ai choisi les technologies de l’information car, étant
donné mon handicap « tétraplégie soit, paralysie des quatre
membres », celles-ci font partie de mon quotidien depuis 1998.
S'abonner à :
Messages (Atom)